La « débitumisation », nouvel enjeu urbain
Pour retrouver des sols perméables en ville et mieux répondre aux enjeux climatiques, Saint-Gobain Abrasifs et sa marque leader Norton Clipper ont regroupé dans une offre complète tous les outils nécessaires pour relever le défi de la désartificialisation des sols urbains. Ils prennent ainsi position sur un marché à fort potentiel.

Pendant des décennies, les aménageurs de nos places, cours, rues et parkings les ont imperméabilisés pour en faciliter l’usage et l’entretien, en toute saison. Avec l’accélération du changement climatique et la multiplication des épisodes extrêmes, leurs priorités s’inversent. En ville, l’objectif est maintenant de prévenir le ruissellement des eaux et la formation des îlots de chaleur en rendant aux sols leurs fonctions naturelles d’absorption et de régulation de la température. Le besoin de refuges pour la biodiversité et la demande croissante de verdure, transforment les villes dans le même sens. L’heure de la désartificialisation – ou « débitumisation » – a donc sonné.
Pour les entreprises de travaux publics, c’est presque un nouveau métier. Saint-Gobain Abrasifs, à travers sa marque leader Norton Clipper, disposent de tous les outils nécessaires pour mener à bien ce type de chantiers avec précision et efficacité. Qu’il s’agisse de découper, percer ou scarifier des couches épaisses de béton ou de bitume, de retailler des dalles pour les réutiliser, cette offre complète propose toutes les solutions nécessaires, en assurant aux opérateurs confort et sécurité.
Des zones inondables aux parkings inutilisés, les petits ou grands chantiers de désartificialisation des sols participent à la transition écologique. L’offre de machines Norton Clipper, développée actuellement dans la zone Europe du Sud, Moyen-Orient et Afrique, est prête à être déclinée dans les autres Régions du Groupe, en tenant compte de besoins locaux. Saint-Gobain se positionne ainsi sur un marché à fort potentiel de croissance, dont dépend le bien-être des générations futures.
Pour en savoir plus, consulter l’infographie (en anglais) ici